Équipe

les questions de développement. Elle étudie diverses thématiques qui gravitent autour du social en lien avec la marginalité : des femmes, des jeunes, des acteurs de développement, des minorités religieuses, des « cadets sociaux ». Pr. Batibonak initie diverses activités associatives, scientifiques et particulièrement dans l’entrepreneuriat universitaire, académique et scientifique. Elle est membre fondatrice et active de plusieurs associations, organisations non gouvernementales et elle siège comme secrétaire générale du Centre d’Appui aux Femmes et au Ruraux (CAFER).

10 ans dans différentes universités au Maroc. Elle est également membre de Tanit, un groupe de recherche multidisciplinaire sur les femmes à l’Université Moulay Ismail de Meknès depuis 2009.

(GERACII) dont elle a été codirectrice de 2016 à 2019, de l’Institut de recherches et d’études féministes (IREF) et du Réseau québécois en études féministes (RéQEF). Ses intérêts de recherche portent sur les enjeux liés à la communication interculturelle, la communication interpersonnelle et les approches féministes. Elle a mené plusieurs recherches collaboratives avec des femmes et groupes de femmes au cours des dernières années (par exemple sur la représentation médiatique des femmes en politique municipale, les pratiques intersectionnelles des groupes communautaires à Montréal et les usages des réseaux socionumériques dans le parcours d’exploitation sexuelle de jeunes filles mineures) et dirige présentement un projet le recherche intitulé Intervention interculturelle auprès des femmes immigrantes et réfugiées au Québec : quelle place, quels apports des approches féministes dans les pratiques d’intervention? à titre de chercheure principale (Subvention CRSH)

Centre d’études en gouvernance. De 2020 à 2021, elle a été directrice régionale des Amériques pour l’Agence Universitaire de la Francophonie à Montréal.

l’intensification rizicole à Gagnoa et Korhogo; et son PhD à l’Université de Wageningen en Hollande sur le thème : « L’efficacité du micro-financement des activités des femmes en zones rurales ». Elle a publié des articles sur les questions de Genre, sécurité alimentaire et de développement rural dans les revues nationales et internationales. Elle est également coordonnatrice de l’Unité Opérationnelle de l’Institut pour les Ressources Naturelles en Afrique de l’Université des Nations Unies (UNU-INRA).

l’économie politique et des études critiques de développement. Ses projets s’intéressent au processus de financiarisation et à l’articulation entre le social, la science et la technologie, en particulier dans le domaine des produits et services financiers. Elle travaille actuellement sur le secteur Fintech, l’inclusion financière et la finance marginale et la philanthropie. Elle étudie également les dynamiques de développement économique régional au Québec, en particulier le rôle des pratiques de finance sociale.

À côté de ses activités scientifiques, Omayma a été élue à Copenhague à la Commission de contrôle de l’IUSY en 2014, elle est également activiste et très engagée auprès de la société civile, Ex-Présidente de l’association Jossour FFM dotée du Statut ECOSOC et de Vice-présidente du « Forum des femmes africaines post 2015 ». Elle a contribué à fonder le Centre Marocain du Contrat, elle est membre du Club des Partenaires de la Faculté des Sciences Juridiques Économiques et Sociales Agdal, et membre de l’Observatoire francophone pour le développement inclusif par le genre (OFDIG).