L’OFDIG est fier de vous présenter son nouveau Cahier de recherche intitulé Développement inclusif par le genre: une lecture féministe décoloniale rédigé par les cochercheuses Sadjo Paquita, Marie Langevin et Caterine Bourassa-Dansereau.

Cette revue de littérature identifie les différents usages et débats qui traversent la notion de développement inclusif au regard des propositions, des définitions, des usages théoriques et pratiques, et met en relief les critiques et débats qui l’entourent et en particulier son articulation aux rapports de genre. Les autrices interrogent ces éléments au regard des théories post et décoloniales dans une perspective féministe intersectionnelle. Les principaux constats retenus sont

1. il n’existe pas de consensus quant à la définition de la notion de développement inclusif par le genre (DIG);

2. la signification de la notion varie d’une discipline à l’autre, selon les contextes ou les personnes et entités qui se l’approprient;

3. les critiques féministes du développement permettent de comprendre l’importance du développement inclusif dans sa perspective de genre.

Les études féministes post et décoloniales renouvellent la lecture critique féministe du développement. La surreprésentation des recherches et études sur les femmes des Suds et le développement fait oublier que la lutte contre les inégalités femmes-hommes dans les pays du Nord global et l’intersectionnalité des rapports de domination font aussi partie intégrante des enjeux de développement inclusif.

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L’OFDIG est fier de vous présenter son nouveau Cahier de recherche intitulé Développement inclusif par le genre: une lecture féministe décoloniale rédigé par les cochercheuses Sadjo Paquita, Marie Langevin et Caterine Bourassa-Dansereau.

Cette revue de littérature identifie les différents usages et débats qui traversent la notion de développement inclusif au regard des propositions, des définitions, des usages théoriques et pratiques, et met en relief les critiques et débats qui l’entourent et en particulier son articulation aux rapports de genre. Les autrices interrogent ces éléments au regard des théories post et décoloniales dans une perspective féministe intersectionnelle. Les principaux constats retenus sont

1. il n’existe pas de consensus quant à la définition de la notion de développement inclusif par le genre (DIG);

2. la signification de la notion varie d’une discipline à l’autre, selon les contextes ou les personnes et entités qui se l’approprient;

3. les critiques féministes du développement permettent de comprendre l’importance du développement inclusif dans sa perspective de genre.

Les études féministes post et décoloniales renouvellent la lecture critique féministe du développement. La surreprésentation des recherches et études sur les femmes des Suds et le développement fait oublier que la lutte contre les inégalités femmes-hommes dans les pays du Nord global et l’intersectionnalité des rapports de domination font aussi partie intégrante des enjeux de développement inclusif.

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