L’OFDIG est fier d’avoir participé le 28 février à une table-ronde intitulée « Engagements et recherches féministes, droits et politiques internationales dans la francophonie » organisée lors de la première Foire féministe : Féministes dans la cité de l’Institut de recherches et d’études féministes (IREF).

L’évènement s’est déroulé de 10h à 11h30 à la Salle des Boiseries de l’UQAM. Animée par Leila Celis, professeure au Département de sociologie de l’UQAM, la discussion a alterné les points de vue des panélistes qui ont présenté leur expertise respective et les embûches qu’elles rencontrent à l’international dans leur pratiques et recherches.

Mme Rhizlaine Benachir, référence scientifique de l’antenne Afrique du Nord de l’OFDIG et consultante en égalité genre et développement au Maroc a abordé, entre autres, l’interdépendance nécessaire entre les milieux académiques universitaires et les milieux de pratiques. Marie-Claude Savard, professeure à l’École des sciences de la gestion de l’UQAM et directrice scientifique de l’Observatoire canadien sur les crises et l’action humanitaires (OCCAH) a partagé sa vision sur les enjeux et répercussions de la politique d’aide internationale féministe du Canada. Marie Langevin, professeure à l’École des sciences de la gestion de l’UQAM et codirectrice de l’OFDIG abordé, quant à elle, l’importance de l’ancrage de l’OFDIG dans les Suds, notamment de la reconnaissance de la parole et de l’expertise de ses cochercheuses internationales au sein de l’observatoire.

Recherches, militances féministes, pratiques et interventions sur le terrain ont été au cœur d’échanges de savoirs riches et d’expériences.

L’OFDIG est fier d’avoir participé le 28 février à une table-ronde intitulée « Engagements et recherches féministes, droits et politiques internationales dans la francophonie » organisée lors de la première Foire féministe : Féministes dans la cité de l’Institut de recherches et d’études féministes (IREF).

L’évènement s’est déroulé de 10h à 11h30 à la Salle des Boiseries de l’UQAM. Animée par Leila Celis, professeure au Département de sociologie de l’UQAM, la discussion a alterné les points de vue des panélistes qui ont présenté leur expertise respective et les embûches qu’elles rencontrent à l’international dans leur pratiques et recherches.

Mme Rhizlaine Benachir, référence scientifique de l’antenne Afrique du Nord de l’OFDIG et consultante en égalité genre et développement au Maroc a abordé, entre autres, l’interdépendance nécessaire entre les milieux académiques universitaires et les milieux de pratiques. Marie-Claude Savard, professeure à l’École des sciences de la gestion de l’UQAM et directrice scientifique de l’Observatoire canadien sur les crises et l’action humanitaires (OCCAH) a partagé sa vision sur les enjeux et répercussions de la politique d’aide internationale féministe du Canada. Marie Langevin, professeure à l’École des sciences de la gestion de l’UQAM et codirectrice de l’OFDIG abordé, quant à elle, l’importance de l’ancrage de l’OFDIG dans les Suds, notamment de la reconnaissance de la parole et de l’expertise de ses cochercheuses internationales au sein de l’observatoire.

Recherches, militances féministes, pratiques et interventions sur le terrain ont été au cœur d’échanges de savoirs riches et d’expériences.