L’OFDIG participait au Colloque international du Centre de recherche sur les innovations sociales (CRISES) à l’UQAM, du 14 au 16 avril dernier.

Le 15 avril, Marie Langevin, codirectrice de l’OFDIG, membre du CRISES et professeure au Département de stratégie, responsabilité sociale et environnementale à l’ESG de l’UQAM présentait une recherche sur le panel sur « Innovations dans le Sud global» aux côtés de Constance Perrin-Joly, Directrice du Centre français des études éthiopiennes, Maitresse de conférences en sociologie à l’Université Sorbonne Paris Nord (en détachement) et Sylvain A. Lefèvre, également professeur au département de stratégie, responsabilité sociale et environnementale de l’ESG UQAM. Leur présentation portait sur l’entrepreneuriat dans les Suds et les promesses équivoques d’une innovation sociale.

Sur ce même panel, Mme Fathiya Saidi, présidente de l’Union de l’Action féministe (UAF) de Tanger, association féministe basé au Maroc, est intervenue. Rencontrée lors de l’école d’été de l’OFDIG en juillet 2024 au Maroc et invitée par l’OFDIG, Mme Fathiya Saidi s’est volontiers jointe au colloque international pour une présentation intitulée « L’ESS comme levier d’autonomisation socio-économique des femmes en situation de vulnérabilité au Maroc : stratégies de résilience et innovations face aux crises ».

Elle y abordait les actions concrètes de l’UAF en matière d’économie sociale et solidaire (ESS) comme le guichet « Annajda » d’accompagnement des femmes victimes de violences qui offre un soutien en matière de prévention, de sensibilisation et d’assistance juridique. Aussi, Mme Saidi est revenue sur l’exemple du guichet mis en place par son association et dédié à l’emploi et à l’auto-emploi, conçu pour répondre aux besoins d’autonomisation économique des femmes en situation de précarité.

L’UAF, fondée en 1987, est une organisation marocaine nationale, pionnière dans la promotion des droits des femmes au Maroc et la lutte contre les violences basées sur le genre. Face aux multiples crises – sanitaires, économiques, sociales et environnementales – qui frappent les populations les plus vulnérables, notamment les femmes rurales, migrantes, et victimes de violences, l’UAF déploie une approche holistique et innovante pour renforcer leur résilience socio-économique.

Le 16 avril, la professeure Marie Langevin animait également le panel « Approches alternatives des savoirs II » et le 17 avril, en marge du Colloque, la codirectrice de l’OFDIG organisait un atelier parallèle avec les membres du CRISES afin de croiser les perspectives féministes et la recherche en innovation sociale. L’atelier était animé par Julie Raby, agente de recherche au Service aux collectivités de l’UQAM.

L’OFDIG participait au Colloque international du Centre de recherche sur les innovations sociales (CRISES) à l’UQAM, du 14 au 16 avril dernier.

Le 15 avril, Marie Langevin, codirectrice de l’OFDIG, membre du CRISES et professeure au Département de stratégie, responsabilité sociale et environnementale à l’ESG de l’UQAM présentait une recherche sur le panel sur « Innovations dans le Sud global» aux côtés de Constance Perrin-Joly, Directrice du Centre français des études éthiopiennes, Maitresse de conférences en sociologie à l’Université Sorbonne Paris Nord (en détachement) et Sylvain A. Lefèvre, également professeur au département de stratégie, responsabilité sociale et environnementale de l’ESG UQAM. Leur présentation portait sur l’entrepreneuriat dans les Suds et les promesses équivoques d’une innovation sociale.

Sur ce même panel, Mme Fathiya Saidi, présidente de l’Union de l’Action féministe (UAF) de Tanger, association féministe basé au Maroc, est intervenue. Rencontrée lors de l’école d’été de l’OFDIG en juillet 2024 au Maroc et invitée par l’OFDIG, Mme Fathiya Saidi s’est volontiers jointe au colloque international pour une présentation intitulée « L’ESS comme levier d’autonomisation socio-économique des femmes en situation de vulnérabilité au Maroc : stratégies de résilience et innovations face aux crises ».

Elle y abordait les actions concrètes de l’UAF en matière d’économie sociale et solidaire (ESS) comme le guichet « Annajda » d’accompagnement des femmes victimes de violences qui offre un soutien en matière de prévention, de sensibilisation et d’assistance juridique. Aussi, Mme Saidi est revenue sur l’exemple du guichet mis en place par son association et dédié à l’emploi et à l’auto-emploi, conçu pour répondre aux besoins d’autonomisation économique des femmes en situation de précarité.

L’UAF, fondée en 1987, est une organisation marocaine nationale, pionnière dans la promotion des droits des femmes au Maroc et la lutte contre les violences basées sur le genre. Face aux multiples crises – sanitaires, économiques, sociales et environnementales – qui frappent les populations les plus vulnérables, notamment les femmes rurales, migrantes, et victimes de violences, l’UAF déploie une approche holistique et innovante pour renforcer leur résilience socio-économique.

Le 16 avril, la professeure Marie Langevin animait également le panel « Approches alternatives des savoirs II » et le 17 avril, en marge du Colloque, la codirectrice de l’OFDIG organisait un atelier parallèle avec les membres du CRISES afin de croiser les perspectives féministes et la recherche en innovation sociale. L’atelier était animé par Julie Raby, agente de recherche au Service aux collectivités de l’UQAM.