17 juin 2024

Alors que l’École d’été au Maroc approche à grands pas, nous avons eu le plaisir de nous entretenir avec Caterine Bourassa-Dansereau, codirectrice de l’OFDIG. En effet, Caterine nous explique que les expériences des femmes à l’international sont tantôt différentes, tantôt similaires à celles vécues au Québec, mais toutes aussi inspirantes et importantes.

Propos recueillis par Mouna Douab et Sarah Naciri

Question: Pourquoi avoir choisi le Maroc ?
Réponse: C’est un pays inspirant sur la question de l’égalité femmes-hommes (ÉFH). Les femmes marocaines sont inspirantes et portent avec force les actions pour l’égalité, dans les milieux universitaires et dans la société civile.

Q.: Comment pensez-vous l’égalité femmes-hommes dans les milieux académiques ?
R.: Les préoccupations en matière d’ÉFH dans les milieux universitaires doivent être transversales : elles doivent orienter les objets d’étude (pour mieux comprendre les causes et incidences des inégalités) et permettre une plus grande présence des femmes dans les sphères décisionnelles des universités et dans tous les domaines d’études (surtout les domaines non-traditionnels).

Q.: Quelle est l’importance de promouvoir la recherche féministe francophone?
R.: Parce qu’il n’y a pas un féminisme, mais bien des féminismes! Les rencontres et dialogues entre féministes de toute la Francophonie sont des atouts inestimables.

Q.: Pourquoi poursuivre un dialogue international à l’OFDIG?
R.: Parce que nous pouvons apprendre des expériences des femmes à l’international, qui sont parfois différentes de celles vécues au Québec… mais souvent aussi similaires à ce que nous vivons ici! Laissons nous inspirer par les femmes de toute la Francophonie.

Pour découvrir la programmation complète du prochain Symposium international de l’OFDIG qui se tient au Maroc du 1er au 5 juillet, cliquez ici.

17 juin 2024

Alors que l’École d’été au Maroc approche à grands pas, nous avons eu le plaisir de nous entretenir avec Caterine Bourassa-Dansereau, codirectrice de l’OFDIG. En effet, Caterine nous explique que les expériences des femmes à l’international sont tantôt différentes, tantôt similaires à celles vécues au Québec, mais toutes aussi inspirantes et importantes.

Propos recueillis par Mouna Douab et Sarah Naciri

Question: Pourquoi avoir choisi le Maroc ?
Réponse: C’est un pays inspirant sur la question de l’égalité femmes-hommes (ÉFH). Les femmes marocaines sont inspirantes et portent avec force les actions pour l’égalité, dans les milieux universitaires et dans la société civile.

Q.: Comment pensez-vous l’égalité femmes-hommes dans les milieux académiques ?
R.: Les préoccupations en matière d’ÉFH dans les milieux universitaires doivent être transversales : elles doivent orienter les objets d’étude (pour mieux comprendre les causes et incidences des inégalités) et permettre une plus grande présence des femmes dans les sphères décisionnelles des universités et dans tous les domaines d’études (surtout les domaines non-traditionnels).

Q.: Quelle est l’importance de promouvoir la recherche féministe francophone?
R.: Parce qu’il n’y a pas un féminisme, mais bien des féminismes! Les rencontres et dialogues entre féministes de toute la Francophonie sont des atouts inestimables.

Q.: Pourquoi poursuivre un dialogue international à l’OFDIG?
R.: Parce que nous pouvons apprendre des expériences des femmes à l’international, qui sont parfois différentes de celles vécues au Québec… mais souvent aussi similaires à ce que nous vivons ici! Laissons nous inspirer par les femmes de toute la Francophonie.

Pour découvrir la programmation complète du prochain Symposium international de l’OFDIG qui se tient au Maroc du 1er au 5 juillet, cliquez ici.