Le Devoir présente l’histoire d’un projet phare de l’OFDIG piloté par la professeure Marie Langevin, codirectrice OFDIG et professeure au Département de stratégie, responsabilité sociale et environnementale à l’ESG UQAM, Marina Hesham, collaboratrice à l’OFDIG et doctorante en sciences économiques à l’Université du Caire et Paris-Sorbonne et Kevin Kaiser du Bureau des initiatives numériques de l’UQAM, collaborateur à l’OFDIG et doctorant en philosophie à l’Université de Montréal.

« L’Observatoire francophone pour le développement inclusif par le genre (OFDIG) termine un grand chantier de trois ans pour créer une première mondiale : une plateforme informatique qui harmonisera les données sur le genre entre l’OCDE, la Banque mondiale et bientôt l’UNESCO et l’Organisation internationale du travail.
L’opération est assez compliquée, semble-t-il, parce que les grandes institutions internationales ne travaillent pas sur les mêmes bases. Les données existent, mais elles sont difficiles à démêler et à croiser sans des talents de programmeurs. « En mettant tout ça sur une même plateforme aisément consultable, on pourra mieux comprendre les vrais problèmes, lancer des actions et exercer des suivis », dit Marie Langevin, codirectrice de l’OFDIG et professeure au Département de stratégie, responsabilité sociale et environnementale à l’ESG UQAM… »

Un article de Jean-Benoît Nadeau https://www.ledevoir.com/societe/855172/femmes-quete-donnees

Le Devoir présente l’histoire d’un projet phare de l’OFDIG piloté par la professeure Marie Langevin, codirectrice OFDIG et professeure au Département de stratégie, responsabilité sociale et environnementale à l’ESG UQAM, Marina Hesham, collaboratrice à l’OFDIG et doctorante en sciences économiques à l’Université du Caire et Paris-Sorbonne et Kevin Kaiser du Bureau des initiatives numériques de l’UQAM, collaborateur à l’OFDIG et doctorant en philosophie à l’Université de Montréal.

« L’Observatoire francophone pour le développement inclusif par le genre (OFDIG) termine un grand chantier de trois ans pour créer une première mondiale : une plateforme informatique qui harmonisera les données sur le genre entre l’OCDE, la Banque mondiale et bientôt l’UNESCO et l’Organisation internationale du travail.
L’opération est assez compliquée, semble-t-il, parce que les grandes institutions internationales ne travaillent pas sur les mêmes bases. Les données existent, mais elles sont difficiles à démêler et à croiser sans des talents de programmeurs. « En mettant tout ça sur une même plateforme aisément consultable, on pourra mieux comprendre les vrais problèmes, lancer des actions et exercer des suivis », dit Marie Langevin, codirectrice de l’OFDIG et professeure au Département de stratégie, responsabilité sociale et environnementale à l’ESG UQAM… »

Un article de Jean-Benoît Nadeau https://www.ledevoir.com/societe/855172/femmes-quete-donnees